Pep Sans Frontières en collaboration avec Modern Advocacy va mener un plaidoyer auprès des nations unies sur la question des libertés d’association et de réunions.
Selon l’association des Pairs Educateurs et Promoteurs Sans Frontières (Pep Sans Frontières) qui à mener un plaidoyer auprès de NATIONS-UNIES enfin qu’elle traitent la question de la liberté d’association et de réunion au Cameroun , la gouvernance et le personnel des états doivent se rendre compte que l’impunité est le revers le plus dangereux pour le développement institutionnel et durable.
Dans une déclaration qui vient d’être faite par Pep Sans Frontière , » les fonctionnaires de l’état qui violent les lois institutionnels ,associé à la promulgation des termes et de notions juridiques peu clairs, sont les causes du terrorismes dans la gouvernance qui viole également l’essence même éthique de l’existence de l’état ». Un constat fait d’ailleurs à l’issue des échanges tenus à Douala du 14 au 16 août 2018.
Un échange qui à conduit à la déclaration dans laquelle ,il est précisé que le gouvernement camerounais devrait veiller à ce que toute restriction concernant les activités de presse et médiatiques oui l’accès à l’internet soit pleinement compatible avec dispositions de l’article 19 paraphe 3 ; du pacte international relatif aux droits civils de politiques (PDCP) du 19 décembre 1966. Ce qui devrait protéger les victimes de toutes formes de torture ou de mauvais traitement puis enquêter. Poursuivre et condamner les auteurs de tels actes.
Comme soumis aux Nations-Unies, Pep Sans Frontières qui dénoncent des abus des autorités camerounaises en matière de réunions publiques , souhaite le renforcement des mesures de protection, des défenseurs des droits de l’hommes contrée les menaces et les actes d’intimidation, la levée de toutes les restrictions inutiles à la libertés de réunion et à la liberté de manifester , en particulier pour les membres de la minorité anglophones du pays , l’ouverture des enquêtes efficaces et impartiales sur toutes les affaires impliquant un recours excessif à la force pour disperser des manifestations et traduire les auteurs en justice.
Les concernés constante qu’a l’échelle national, de nombreux mouvements de la société civiles ont dénoncé les séries incessantes de mauvaises gouvernance associées à la malveillance administrative et politique pour des intérêts des personnes .
« L’association Pairs Educateurs et Promoteurs ( Pep Sans Frontières) à réuni plus de 30 organisations de défense des droits humains dans les dix régions du pays pour apprendre les technique de plaidoyers et les mécanismes utilisés par le défenseurs de droits de humains. Ils ont abouti à une déclaration conjointe et signée pour traiter à la fois des vise juridiques et des abus administratif des lois régissant la liberté ‘association ,liberté de réunion et les manifestations publiques soulignent les concernés.
Améliorations
Et donc le documents élaboré demande à l’état du Cameroun de renforcer la séparation effective des responsabilités exécutives et judiciaires fournir une définition succincte de la notion « d’ordre public » et de bonnes mœurs » dans le contexte régulière appliqué par les autorités administratives en vertu de la loi 90-55 du 19 décembre 1990 relative à la réglementation des réunions et de manifestations publique, fournir au moins 3 jours de préavis pour interdire toutes réunions et manifestations publiques déjà déclaré conformément à la section 8(2) de la même loi « cette disposition est déjà couvert par l’article 12 pour le juge seul qui doit statuer dans une position neutre ,comme le reflètent les articles 6,7,8,10 et 11(1) de la DUDH et les articles 22(3) du PDCP, le Cameroun doit aussi prévoir des sanctions pénales sévères pour faire face aux actions abusives des autorités administratives », font savoir les membres de Pep Sans Frontières.